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mardi 30 octobre 2018

Cousette

Les derniers nés

Un mélange de différents tissus et de différents cuirs.
Pas de modèle pour le sac, tout dans la tête. Pour le porte carte un arrangement de ceux réalisés il y a quelques temps (ici et ici presque en bas de l'article). Le nouveau est un peu raté, mais bon, tant pis.










vendredi 7 septembre 2018

Lectures estivales

Cet été fut marqué par la lecture : 24 livres ! dont deux laissés de côté... non carrément abandonnés.

Certains livres ont fait la journée, d'autres une dizaine de jours...

Cette fois, je ne vais pas faire dans l'ordre de lecture, mais de préférence, du moins bien au meilleurs, et oui, il y en a plusieurs !

Les bof, et...abandonnés



"La place" de Annie Ernaux, bibliographie d'une normande. Abandonné à la moitié du livre, je n'y ai pas trouvé d'intérêt.



"Petits délices et grand amour" - Nora Roberts
Comme vous le savez, je ne lis pas les dernières de couvertures, mais avant de lire un livre, je parcours les premières pages : date d'édition... et là zut, je découvre une mention d'Harlequin. Aïe, ça s'annonce mal. Mais bon testons, après tout le livre ne ressemble en rien physiquement à cette fameuse collection.
J'ai tenu toute la première histoire (il y en a deux), mais non, franchement, aucun intérêt et digne... d'un roman Harlequin ! bref, impasse sur la seconde histoire.

Les bien

Il s'agit de vieux polars, ils sont tous bien ficelés, on ne s'ennuie pas, on est même tenu en haleine...
"Trafic de reliques" par Ellis Peters (2001), "Barouf au Capricorne" d'Edmont Cassel (1962), "L'assassinat du père-noël" par Pierre Véry (1947 !).


Les très bien, il y en a un petit paquet

Dans le genre polars
Michel Bussi : "Nymphéas noirs" et "T'en souviens-tu, mon Anaïs"
Charles Exbrayat : "Bye, bye, chérie"
Harlan Coben : "Disparu à jamais" et "Dans les bois". J'ai encore trois livres de cet auteur, j'ai un peu joué à une foire à tout, il y avait plein de livres de cet auteur pour une misère, je ne connaissait pas tu tout, je prenais un risque, mais franchement, à la lecture des deux premiers, aucun regret.
François Fuentes : "Crime à Bordeaux dans un quartier chic







Dans un autre genre
"La vie en Rosalie" Nicolas Barreau,

"Un appartement à Paris" Guillaume Musso,




"Entre ciel et Lou" Lorraine Fouchet,                                "Les quatre grâces" Patricia Gaffney

"Les séparés" par Kéthévane Davrichewy, "Au pays des purs" de Kénizé Mourad et "La mémoire du thé" de Lisa See

Et enfin les très très bien

Les filles au lion de Jessie Burton, "Assez de bleu dans le ciel" par Maggie O'Farrell, "La grand-mère de Jade" de Frédérique Deghelt, "La mélodie du passé" de Hans Meyer zu Düttingdrof, "Mères et filles" par Sally Hepworth et enfin, le 5ème (sur 7) tome de la chronique des Clifton par Jeffrey Archer : "Plus fort que l'épée". Il faut que je me rue à la librairie pour les deux derniers tomes...






Cet été, pour la première fois, je me suis mise sur la liseuse, enfin, pendant 15 jours, le temps d'absence de la maison. J'ai été convaincue de l'intérêt de cet objet pour les déplacements, cela m'a tout de même évité d'emporter 6 livres dans mes bagages !
Même si je n'avais pas un modèle récent (il s'agissait d'un prêt) et que je n'ai pu profiter de la lecture de nuit dans la voiture, j'ai apprécié la légèreté de l'outil, la "matité" de l'écran par rapport à celui d'ordinateur, de tablette ou de téléphone, le fait que l'écran ne soit pas tactile (j'ai souvent les doigts au milieu des pages).
Je regrette, mais n'abandonnerai pas pour autant la liseuses des vacances, le livre papier, tourner les pages, le nombre de pages du livre (la progression de lecture est en pourcentage), ne pas voir la couverture à chaque prise en main de livre électronique.
Je vais donc très prochainement faire l'acquisition d'une liseuse récente ;-)

samedi 16 juin 2018

Dessin-peinture - avril - mai - juin

Pas de machine à coudre à disposition, mais du papier, des crayons, des pinceaux, de la peinture...
Et voilà de quoi s'occuper.

J'ai commencé par "crayonner" principalement, puis, j'ai repris les esquisses pour en mettre certaines, je dis bien certaines, en couleur. ; oui, j'estime, ou plutôt j'ai peur, de tout gâcher en y mettant des couleurs ; d'autres attendent que je mûrisse ce que je veux en faire.

Certains modèles sont inspirés de magazines, d'autres de photos reçues (les vacances des collègues, un bouquet chez quelqu'un) ou récupérées (photos prises par papa il y a quelques toutes petites années -années 80-90, de fleurs que l'on m'a offert dernièrement...