Comme j'ai un peu de temps en ce moment, je "mange" du livre.
J'ai donc continué ma découverte d'Arto Passalinna avec "Le cantique de l'apocalypse joyeuse" cette fois, pour comprendre ce que maman disait de cet auteur : toujours un petit grain de folie.
Alors, mes conclusions : l'écriture de l'auteur est toujours très agréable à la lecture. Le genre est effectivement totalement différent du premier livre que j'ai lu. J'avoue que le système de vie mis en place m'a beaucoup plu, c'est tout à fait dans l'idée de ce que nous souhaitons vivre avec un certain nombre d'amis...
Mais il faut avouer qu'à partir de la moitié (un peu plus), quand on arrive à notre époque, cela devient totalement "délirant", j'entends par là, pure fiction, dans le sens où on ne voudrait surtout pas que cela arrive.
Au final, j'ai tout de même beaucoup apprécié ce livre.
Le tout début du livre pour ne pas trop en dévoiler : Un vieux communiste militant, grand bouffeur de curés, a chargé son petit-fils Eemeli Toropainen de construire sur ses terres, pour le rachat de son âme, une église en bois...
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